Juninho zappe Perrin

L'entraineur qui se fait tirer par un joueur c'est limite du jamais vu...Perrin s'abaisse devant Juni c'est bien la preuve d'une imcopétence !
J'espère vraiment qu'il ne finira pas la saison avec l'OL ! C'est pour rien que même l'OM l'est limogé !

je trouve qu'il a pris la grosse tête le juni

Oui aussi mais Perrin a en contre partie des choix vraiment bizzares.

arno_legone a écrit:L'entraineur qui se fait tirer par un joueur c'est limite du jamais vu...Perrin s'abaisse devant Juni c'est bien la preuve d'une imcopétence !
J'espère vraiment qu'il ne finira pas la saison avec l'OL ! C'est pour rien que même l'OM l'est limogé !

C'est clair, c'est le joueur qui commande... n'imp !

En tout cas j'ai l'impression que BL est plus que secptique à son sujet.

Ouaii bizarre le comportement de Perrin ...

je trouve que perrin devrait un peu gueler sur juni qui commence a se rebeller et peut-être le mettre sur le banc pour lui montrer la dicipline

En tout cas il était titulaire hier soir...

Je ne comprends pas du tout Perrin !

Un comportement indigne d'un footballeur, pas banni, pas sanctionné et titulaire !
Ba dis donc, ca fait beaucoup !

Oui mais Perrin vraiment bof .

Perrin passe pour la "victime" dans s'taffaire mais d'un coté c"'est luiqui l'a choisi ^^

Non c'est pas une victime il peut seuleme,nt s'en prendre qu'a lui même avec ses choix tactiques bidons.

Ne me dis pas qu'il n'y a que ses choix tactiques qui sont causes de certains comportement ...

si parce que quand un joueur qui est habitué à jouer tout le temps vers l'avant que l'on oblige à jouer plus derrière et qu'en plus les résultats et le jeu sont médiocres ... y'a de quoi expliquer le comportement de Juninho par exemple !!

Okk mais bon i doit y avoir quelques petits problémes internes je pense ...

28/09/2007
Foot - L1 - Perrin : «''PPH'', ça me fait sourire»



Fragilisé par la nette défaite concédée la semaine dernière en Ligue des champions contre Barcelone (0-3), le départ de Juninho d'une séance vidéo puis le résultat nul contre Lille en L1 (1-1), Alain Perrin (Photo L'Equipe) affiche une inébranlable confiance dans un entretien accordé à L'Equipe TV, diffusé dans l'émission Match après match. «J'ai le mental pour affronter la situation» dit celui qui serait surnommé PPH en interne («passera pas l'hiver»), un surnom qui «le fait sourire».



« Alain Perrin, comment allez-vous ?

Très très bien !

Vous venez de vivre une semaine difficile après la défaite contre Barcelone...

Vous en connaissez, des semaines faciles, vous ? Il y a toujours un match à préparer, il y a toujours un match à gagner. Ça fait partie du boulot. Une défaite ne plaît jamais à personne. Les semaines sont moins agréables quand on perd un match, pour le staff comme pour les joueurs.

Votre réaction par rapport au départ de Juninho de la séance vidéo n'a pas toujours été comprise... (NDLR, il a indiqué que ça ne lui posait aucun problème)...

Pourquoi les gens ne comprennent-ils pas ? Car ils ne connaissent pas notre gestion humaine dans le vestiaire. Lors de la séance vidéo en question, Juni était marqué psychologiquement par la défaite 3-0. C'est un compétiteur. Il avait les boules d'avoir perdu ce match et n'avait pas envie de revoir les images, car dans sa tête, ce match était négatif... Où est le problème ?

Pourquoi ne pas l'avoir sanctionné ?

J'ai l'impression que l'entraîneur est censé imposer tout à tout le monde en même temps, et tout le monde doit se mettre au garde à vous. Non, tout ce qui doit être fait concerne le jeu, les entraînements. Il faut obtenir l'adhésion des joueurs. On ne vient pas avec une baguette. On discute avec les joueurs pour tout harmoniser, comme lorsqu'on a évolué en 4-4-2 à Metz et qu'on a gagné 5-1.

Pensez-vous avoir été victime d'une de ces deux choses : de la comparaison avec vos prédécesseurs, ou d'une image autoritaire ?

Oui, je suis victime d'une image, effectivement. Il y a un procès d'intention lié à une image que j'ai pu avoir, et que je ne renie pas, de l'époque où j'étais jeune entraîneur, à Troyes en particulier. Effectivement, je sais ce que je veux en terme de projet de jeu et de vie collective. L'entraîneur est là pour faire respecter un certain nombre de règles de vie. Mais globalement, mes expériences, que ce soit à Marseille, que ce soit à l'étranger, m'ont amené à aller à l'essentiel, et me rendre compte justement, qu'on ne mène plus des joueurs en 2007 comme on pouvait les mener il y a quinze ou vingt ans. On explique davantage les choses. On n'est pas là pour imposer quelque chose qui viendrait de je-ne-sais-quelle science infuse.

Elle vous agace, cette image ?

On parle de Juni car il est justement un joueur médiatique sensible, le capitaine. Quand il s'agit d'autres joueurs moins médiatisés, on en parle moins. Les gens pensent que le joueur a eu un comportement déviant. Comme s'il avait refusé de faire quelque chose. Non, il n'a pas claqué la porte, il n'a pas eu des mots. Il a expliqué que justement, c'était trop lourd psychologiquement, et qu'il ne se sentait pas capable de voir la vidéo. Je reçois le message et je dis effectivement : ''Le fait de regarder ne changera ni le résultat de Barcelone, ni te rendra meilleur sur le match suivant.'' Ça ne m'empêche pas discuter avec lui du match, ni de revoir sa performance. Là, on a affaire à un joueur qui dit clairement son opinion et qui dit son sentiment, alors que certains autres joueurs vont plus subir les choses et n'en penseront pas moins.

Avez-vous l'impression de devoir plus justifier ce que vous faîtes avec votre équipe ?

Non. Il y a un procès, comme une chasse au Lyon.

Une chasse au club ?

Oui.

Pas à Alain Perrin l'individu ?

Non parce que ce sera chacun son tour. De temps en temps, ce sera le tour du président. L'entraîneur pourquoi ? Naturellement, la presse n'attaque pas les joueurs. Cette chasse au Lyon est injuste après notre intersaison agitée. On a eu beaucoup de départs, de transferts avec des joueurs qui n'avaient pas les mêmes statuts. Quand vous jouez sans Muller, sans Cris, sans Fred, ajoutez les joueurs qui sont partis, qui avaient l'expérience internationale, c'est sûr qu'il y a un temps d'adaptation.

Mais vous avez votre sensibilité. Quand vous lisez que vous êtes sans doute PPH : «Passera pas l'hiver»...

Ça me fait sourire.

Réellement ?

Franchement oui, c'est comme un petit surnom. Et j'aime les challenges. Si je suis venu ici, c'est parce qu'il faut relever des challenges. C'est un défi supplémentaire, c'est dans les combats qu'on voit la valeur des hommes. C'est facile d'être bon pour un entraîneur quand l'équipe gagne, quand on sait qu'elle marquera vite. Là, c'est un peu plus costaud, et c'est ça le vrai métier, c'est là qu'il faut faire face, c'est quand il y a un peu tempête en mer qu'on voit si on tient la barre où pas. J'ai le mental pour affronter la situation. On va voir si dans les relations que j'ai avec les joueurs, je suis capable d'accepter les difficultés. On a voulu m'opposer un certain moment avec Bernard (Lacombe), mais j'entretiens de bonnes relations avec lui. Tous les jours, on se voit, on parle, on discute, c'est un grand plaisir de travailler avec lui, parce qu'il a une connaissance du football, il a une vision. Et à chaque fois, toutes les remarques qu'il me fait, par rapport au jeu de l'équipe, par rapport à tout, ce sont des remarques pertinentes. Concrètement, quand il observe qu'il n'y a pas assez de soutien quand on joue long, ça conforte ce que j'avais vu, on le travaille à l'entraînement. Ce serait gênant d'être toujours épidermique, parano à chaque fois que quelqu'un parle. Pour le reste, il y a beaucoup de choses à améliorer dans l'équipe.

Si tout le monde tire dans le même sens, dîtes-vous.

C'est ça que vous avez du mal à imaginer. En interne, tout le monde a le même objectif. Soyez-en persuadé. On veut encore gagner un septième titre, on veut aller au bout. L'effectif a une marge de progression. Il n'est pas au top actuellement, au niveau européen, on l'a vu contre Barcelone. Je vous donne rendez-vous au prochain match contre Barcelone. Je ne dis pas qu'on va gagner, mais on aura réduit l'écart. On a les arguments pour les embêter, on va récupérer des joueurs-clé, on a des possibilités. Et l'équipe va encore progresser. Je suis très satisfait, franchement, de l'attitude des joueurs. J'ai noté dès les premières séances à Tignes, que le groupe était vraiment très intéressant car très réceptif pour bosser. Pour un entraîneur c'est quand même l'essentiel.»

Recueilli par Vincent COUËFFÉ à Lyon

29/09/2007
Foot - L1 - Lyon «plus friable», selon Lacombe


Bernard Lacombe, conseiller du président Jean-Michel Aulas, a admis que Lyon était plus «friable» que les années précédentes, en raison notamment des départs de joueurs d'expérience cet été (Malouda, Abidal, Tiago), mais aussi des blessures de certains cadres depuis le début de la saison (Cris, Coupet, Müller). «On a perdu beaucoup de joueurs de haut niveau et on a pris des joueurs en devenir», a -t-il confié dans un entretien accordé à L'Equipe. «On fait partie des quinze meilleures équipes européennes, et nos nouveaux joueurs, à l'exception de Grosso, découvrent tout ça. A Barcelone (3-0), la découverte a été cruelle, on a senti un peu d'impuissance. Cela faisait des années que je n'avais pas ressenti cette impuissance».

Autre motif d'insatisfaction pour le dirigeant, les rumeurs, parties de l'intérieur, qui «fragilisent l'institution» Olympique Lyonnais. «Ce n'est pas bon pour l'image du club. Avant, on savait que ces truc existaient, mais ça restaient à l'intérieur. C'est comme l'histoire de la séance vidéo que Juni a quittée... Avant, on aurait dit qu'il avait un problème à régler chez lui, et voilà. Il faut que ces choses là restent entre nous».

Retrouvez l'intégralité de cet entretien réalisé par Vincent Duluc dans L'Equipe, ce samedi.

PPH :Tnvision4:


C'est bientot la fin pour les lyonnais.

Ce surnom ne veut rien dire... on peut dire ça de n'importe quel entraineur... même si je serais d'avis pour qu'il ne passe pas l'hiver.

arno_legone a écrit:29/09/2007
Foot - L1 - Lyon «plus friable», selon Lacombe






Bernard Lacombe, conseiller du président Jean-Michel Aulas, a admis que Lyon était plus «friable» que les années précédentes, en raison notamment des départs de joueurs d'expérience cet été (Malouda, Abidal, Tiago), mais aussi des blessures de certains cadres depuis le début de la saison (Cris, Coupet, Müller). «On a perdu beaucoup de joueurs de haut niveau et on a pris des joueurs en devenir», a -t-il confié dans un entretien accordé à L'Equipe. «On fait partie des quinze meilleures équipes européennes, et nos nouveaux joueurs, à l'exception de Grosso, découvrent tout ça. A Barcelone (3-0), la découverte a été cruelle, on a senti un peu d'impuissance. Cela faisait des années que je n'avais pas ressenti cette impuissance».

Autre motif d'insatisfaction pour le dirigeant, les rumeurs, parties de l'intérieur, qui «fragilisent l'institution» Olympique Lyonnais. «Ce n'est pas bon pour l'image du club. Avant, on savait que ces truc existaient, mais ça restaient à l'intérieur. C'est comme l'histoire de la séance vidéo que Juni a quittée... Avant, on aurait dit qu'il avait un problème à régler chez lui, et voilà. Il faut que ces choses là restent entre nous».

Retrouvez l'intégralité de cet entretien réalisé par Vincent Duluc dans L'Equipe, ce samedi.

C'est pas bon tout ça... enfin espérons qu'on arrive à gagner le championnat...

Oui enfin bon ce soir on s'est pas mal rassuré avec un dispositif qui a porter ses fruits

Juninho qui était censé sortir à la 76è, trop marrant...^^

30/09/2007
Foot - L1 - Aulas : «J'ai eu un verbe réactif»



La victoire de Lyon face à Lens (3-0) a visiblement calmé les esprits de Jean-Michel Aulas, qui évoquait, il y a une semaine, «un climat pervers autour de l'OL». Le président lyonnais s'est expliqué samedi sur les raisons qui l'avaient poussé à «monter au créneau». «Ces derniers temps, j'ai eu un verbe réactif, mais c'était pour convaincre de notre bonne foi, de nos bonnes intentions», a-t-il notamment confié à L'Equipe. «Si je suis monté au créneau, c'est pour protéger les joueurs et l'entraîneur, qui ne méritait pas ce qui se disait sur lui». A propos de ce dernier, Aulas estime qu'il «a eu du mérite de tenir».

«Très heureux de ce succès», le dirigeant rhodanien ne veut cependant pas tomber dans l'excès de confiance et se projette déjà sur la réception des Glasgow Rangers mardi en Ligue des champions. «Ce sera un match vital qu'il faut gagner», prévient-il. «Mais on se prend à rêver, on se dit que ce sera peut-être une bonne semaine pour nous. A ce sujet, je n'ai jamais dit que l'objectif était d'aller en demi-finales. J'ai dit que l'objectif était de faire mieux que les saisons précédentes. Mais il faut considérer les blessures : dans ces conditions, si on passe les poules, on sera très heureux».

Oui, j'avais vu son interview, mais bon, je crois pas que ce soit la preuve d'une remontée en puissance de l'OL...^^